Lexapro (escitalopram) liste des effets secondaires pour les professionnels de santé

Expérience des essais cliniques

Parce que les études cliniques sont menées dans des conditions très variables, les taux d’effets indésirables observés dans les études cliniques d’un médicament ne peuvent être directement comparés aux taux des études cliniques d’un autre médicament et peuvent ne pas refléter les taux observés en pratique.

Sources des données des essais cliniques

Enfants (6 -17 ans)

Les effets indésirables ont été recueillis chez 576 patients pédiatriques(286 Lexapro, 290 placebo) présentant un trouble dépressif majeur dans des études en double aveugle contrôlées par placebo. La sécurité et l’efficacité de Lexapro chez les patients pédiatriques de moins de 12 ans n’ont pas été établies.

Adultes

Les informations sur les effets indésirables de Lexapro ont été recueillies chez715 patients atteints de troubles dépressifs majeurs qui ont été exposés à l’escitalopramet chez 592 patients qui ont été exposés au placebo dans des études en double aveugle,contrôlées par placebo. De plus, 284 patients souffrant de troubles dépressifs majeurs ont été exposés à l’escitalopram dans le cadre d’essais ouverts. Les informations sur les effets indésirables du Lexapro chez les patients atteints de TAG ont été recueillies auprès de 429 patients exposés à l’escitalopram et de 427 patients exposés au placebo dans des essais en double aveugle, contrôlés par placebo.

Les effets indésirables pendant l’exposition ont été obtenus principalement par une enquête générale et enregistrés par les investigateurs cliniques en utilisant la terminologie de leur choix. Par conséquent, il n’est pas possible de fournir une estimation significative de la proportion d’individus ayant subi des événements indésirables sans d’abord regrouper les types d’événements similaires dans un plus petit nombre de catégories d’événements normalisés. Dans les tableaux et tabulations qui suivent, la terminologie standard de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a été utilisée pour classer les événements indésirables déclarés.

Les fréquences déclarées des effets indésirables représentent laproportion d’individus ayant subi, au moins une fois, un événement indésirable émergeant du traitement du type énuméré. Un événement a été considéré comme émergent du traitement s’il est survenu pour la première fois ou s’est aggravé pendant le traitement après l’évaluation de base.

Evénements indésirables associés à l’arrêt du traitement

Trouble dépressif majeur

Enfants (6 -17 ans)

Des événements indésirables ont été associés à l’arrêt du traitement chez 3,5 % des 286 patients recevant Lexapro et 1 % des 290 patients recevant le placebo.L’événement indésirable le plus fréquent (incidence d’au moins 1 % pour Lexapro et supérieure à celle du placebo) associé à l’arrêt du traitement était l’insomnie (1 % pour Lexapro, 0 % pour le placebo).

Adultes

Parmi les 715 patients déprimés ayant reçu Lexapro dans des essais contrôlés par placebo, 6 % ont abandonné le traitement en raison d’un événement indésirable,contre 2 % des 592 patients recevant le placebo. Dans deux études à dose fixe, le taux d’abandon pour cause d’effets indésirables chez les patients recevant 10 mg/jour de Lexapro n’était pas significativement différent du taux d’abandon pour cause d’effets indésirables chez les patients recevant le placebo. Le taux d’abandon pour des événements indésirables chez les patients assignés à une dose fixe de 20 mg/jour de Lexapro était de 10 %, ce qui était significativement différent du taux d’abandon pour des événements indésirables chez les patients recevant 10 mg/jour de Lexapro (4 %) et le placebo (3 %).Les effets indésirables qui ont été associés à l’abandon d’au moins 1% despatients traités par Lexapro, et pour lesquels le taux était au moins deux fois supérieur à celui duplacebo, étaient les nausées (2%) et les troubles de l’éjaculation (2% des patients masculins).

Trouble d’anxiété généralisée

Adultes

Parmi les 429 patients souffrant de TAG qui ont reçu Lexapro 10-20mg/jour dans des essais contrôlés par placebo, 8% ont interrompu le traitement en raison d’un événement indésirable, contre 4% des 427 patients recevant le placebo. Les événements indésirables qui ont été associés à l’abandon d’au moins 1 % des patients traités par Lexapro, et pour lesquels le taux était au moins deux fois supérieur à celui du placebo, étaient la nausée (2 %), l’insomnie (1 %) et la fatigue (1 %).

Incidence des effets indésirables dans les essais cliniques contrôlés par placebo

Trouble dépressif majeur

Enfance (6 -17 ans)

Le profil global des effets indésirables chez les patients pédiatriques était généralement similaire à celui observé dans les études chez les adultes, comme le montre le tableau2. Cependant, les effets indésirables suivants (à l’exclusion de ceux qui apparaissent dans leTableau 2 et de ceux pour lesquels les termes codés n’étaient pas informatifs ou trompeurs)ont été rapportés à une incidence d’au moins 2% pour Lexapro et supérieure à celle duplacebo : douleurs dorsales, infection des voies urinaires, vomissements et congestion nasale.

Adultes

Les effets indésirables les plus fréquemment observés chez les patients sous Lexapro (incidence d’environ 5 % ou plus et environ deux fois l’incidence chez les patients sous placebo) étaient l’insomnie, le trouble de l’éjaculation (principalementle retard éjaculatoire), la nausée, la transpiration accrue, la fatigue et la somnolence.

Le tableau 2 énumère l’incidence, arrondie au pourcentage le plus proche, des événements indésirables apparus en cours de traitement chez 715 patients déprimés ayant reçu du Lexapro à des doses allant de 10 à 20 mg/jour dans des essais contrôlés par placebo. Les événements inclus sont ceux survenant chez 2 % ou plus despatients traités par Lexapro et pour lesquels l’incidence chez les patients traités par Lexapro était supérieure à l’incidence chez les patients traités par placebo.

Tableau 2 : Traitement -Effets indésirables émergents observés avec une fréquence ≥ 2 % et supérieure à celle du placebo pour le trouble dépressif majeur

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Douleurs abdominales

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Effet indésirable Lexapro
(N=715)%
Placebo
(N=592) %
Système nerveux autonome. Troubles
Bouche sèche 6% 5%
Augmentation des sueurs 5% 2%
Central & Troubles du système nerveux périphérique
Etourdissements 5% 3%
Troubles gastro-intestinaux
Nausea 15% 7%
Diarrhée 8% 5%
Constipation 3% 1% Indigestion 3% 1%
2% 1%
Général
Influenza- Symptômes de type grippal 5% 4%
Fatigue 5% 2% Troubles psychiatriques
Insomnie 9% 4%
Somnolence 6% 2%
Affection diminuée 3% 1%
Baisse de la libido 3% 1%
Troubles de l’appareil respiratoire
Rhinite 5% 4%
Sinusite 3% 2%
Urogénital
Troubles de l’éjaculation1,2 9% <1%
Impuissance2 3% <1%
Anorgasmie3 2% <1%
1Primairement retard éjaculatoire.
2Le dénominateur utilisé concernait uniquement les hommes (N=225 Lexapro ; N=188 placebo).
3Le dénominateur utilisé concernait uniquement les femmes (N=490 Lexapro ; N=404placebo).

Trouble d’anxiété généralisée

Adultes

Les effets indésirables les plus fréquemment observés chez les patients sous Lexapro (incidence d’environ 5 % ou plus et environ deux fois plus élevée que chez les patients sous placebo) étaient les nausées, les troubles de l’éjaculation (principalement le retard éjaculatoire), l’insomnie, la fatigue, la baisse de la libido et l’anorgasmie.

Le tableau 3 énumère l’incidence, arrondie au pourcentage le plus proche, des effets indésirables apparus en cours de traitement chez 429 patients atteints de TAG ayant reçu Lexapro 10 à 20 mg/jour dans des essais contrôlés par placebo.Les événements inclus sont ceux qui sont survenus chez 2 % ou plus des patients traités par leLexapro et pour lesquels l’incidence chez les patients traités par le Lexapro était supérieure à l’incidence chez les patients traités par placebo.

TABLE 3 : Traitement-Effets indésirables émergents observés avec une fréquence ≥ 2 % et supérieure à celle du placebo pour leTrouble anxieux généralisé

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Réactions indésirables Lexapro
(N=429)%
Placebo
(N=427)%
Troubles du système nerveux autonome
Bouche sèche 9% 5% Augmentation de la transpiration 4% 1% Central & Troubles du système nerveux périphérique
Mal de tête 24% 17%
Paresthésie 2% 1%
Troubles gastro-intestinaux
Nausea 18% 8% Diarrhée 8% 6% Constipation 5% 4% Indigestion 3% 2%
Vomissements 3% 1%
Douleurs abdominales 2% 1%
Flatulence 2% 1%
Maux de dents 2% 0%
Général
Fatigue 8% 2%
Influenza- 5% 4%
Troubles de l’appareil locomoteur
Douleurs au cou/épaule 3% 1%
Troubles psychiatriques
Somnolence 13% 7%
Insomnie 12% 6% Libido diminuée 7% 2% Rêve anormal 3% 2% Appétit diminué 3% 1% Léthargie 3% 1% Troubles de l’appareil respiratoire
Bâillement 2% 1%
Urogénital Troubles de l’éjaculation1,2 14% 2%
Anorgasmie3 6% <1%
Troubles menstruels 2% 1%
1Primairement retard éjaculatoire.
2Le dénominateur utilisé concernait uniquement les hommes (N=182 Lexapro ; N=195 placebo).
3Le dénominateur utilisé concernait uniquement les femmes (N=247 Lexapro ; N=232placebo).

Dépendance à la dose des effets indésirables

La dépendance potentielle à la dose des effets indésirables courants(définis comme un taux d’incidence de ≥5% dans les groupes Lexapro 10 mg ou 20 mg) a été examinée sur la base de l’incidence combinée des effets indésirables dans deux essais à dose fixe. Le taux d’incidence global des effets indésirables chez les patients traités par 10 mg de Lexapro (66 %) était similaire à celui des patients traités par placebo (61 %), tandis que le taux d’incidence chez les patients traités par 20 mg/jour de Lexapro était plus élevé (86 %). Le tableau 4 montre les réactions indésirables communes qui sont survenues dans le groupe Lexapro 20 mg/jour avec une incidence qui était environ deux fois supérieure à celle du groupe Lexapro 10 mg/jour et environ deux fois supérieure à celle du groupe placebo.

TABLE 4 : Incidence des effets indésirables courants chez les patients souffrant de troubles majeurs

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Effet indésirable Placebo
(N=311)
10 mg/jour de Lexapro
(N=310)
20 mg/jour de Lexapro
(N=125)
Insomnie 4% 7% 14%
Diarrhée 5% 6% 14%
Bouche sèche 3% 4% 9% Somnolence 1% 4% 9%
Etourdissements 2% 4% 7%
. Augmentation des sueurs < 1% 3% 8%
Constipation 1% 3% 6%
Fatigue 2% 2% 6%
Indigestion 1% 2% 6%

Dysfonctionnement sexuel masculin et féminin avec les ISRS

Bien que des changements dans le désir sexuel, performance sexuelle,et la satisfaction sexuelle surviennent souvent comme des manifestations d’un trouble psychiatrique,ils peuvent aussi être une conséquence d’un traitement pharmacologique. En particulier, certaines preuves suggèrent que les ISRS peuvent causer de telles expériences sexuelles fâcheuses.

Des estimations fiables de l’incidence et de la gravité des expériences fâcheuses impliquant le désir, la performance et la satisfaction sexuels sont cependant difficiles à obtenir, en partie parce que les patients et les médecins peuvent être réticents à en parler. En conséquence, les estimations de l’incidence des expériences et performances sexuelles fâcheuses citées dans l’étiquetage des produits sont susceptibles de sous-estimer leur incidence réelle.

TABLE 5 : Incidence des effets secondaires sexuels dans les essais cliniques placebo-Controlled Clinical Trials

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Evénement indésirable Lexapro Placebo
Chez les hommes seulement (N=407) (N=383)
Troubles de l’éjaculation (principalement retard éjaculatoire) 12% 1%
Libido diminuée 6% 2%
Impuissance 2% <1%
Chez les femmes seulement (N=737) (N=636)
Libido diminuée 3% 1%
Anorgasmie 3% <1%

Il n’existe pas d’études correctement conçues examinant les dysfonctionnements sexuels sous traitement par escitalopram.

Le priapisme a été rapporté avec tous les ISRS.

Bien qu’il soit difficile de connaître le risque précis de dysfonctionnement sexuel associé à l’utilisation des ISRS, les médecins devraient systématiquement se renseigner sur ces effets secondaires possibles.

Modifications des signes vitaux

Les groupes Lexapro et placebo ont été comparés en ce qui concerne(1) la modification moyenne par rapport à la ligne de base des signes vitaux (pouls, pression artérielle systolique et pression artérielle diastolique) et (2) l’incidence des patients répondant aux critères de modifications potentiellement cliniquement significatives par rapport à la ligne de base de ces variables. Ces analyses n’ont pas révélé de changements cliniquement importants des signes vitaux associés au traitement par le Lexapro. De plus, une comparaison des mesures des signes vitaux en position debout et en position couchée chez les sujets recevant du Lexapro a indiqué que le traitement par le Lexapro n’est pas associé à des changements orthostatiques.

Modifications du poids

Les patients traités par le Lexapro dans des essais contrôlés ne différaient pas des patients traités par placebo en ce qui concerne les modifications cliniquement importantes du poids corporel.

Modifications de laboratoire

Les groupes Lexapro et placebo ont été comparés en ce qui concerne(1) le changement moyen par rapport à la ligne de base dans diverses variables de chimie sérique, d’hématologie et d’analyse urinaire, et (2) l’incidence des patients répondant aux critères de changements potentiellement cliniquement significatifs par rapport à la ligne de base dans ces variables.Ces analyses n’ont révélé aucun changement cliniquement important dans les paramètres de tests de laboratoire associés au traitement par Lexapro.

Modifications de l’ECG

Les électrocardiogrammes des groupes Lexapro (N=625) et placebo(N=527) ont été comparés en ce qui concerne les valeurs aberrantes définies comme les sujets présentant des modifications de l’intervalle QTc supérieures à 60 msec par rapport à la ligne de base ou des valeurs absolues supérieures à 500 msec après la dose,et les sujets présentant une augmentation de la fréquence cardiaque à plus de 100 bpm ou une diminution à moins de 50 bpm avec un changement de 25 % par rapport à la ligne de base (valeurs aberrantes tachycardiques ou bradycardiques, respectivement). Aucun des patients du groupe Lexapro n’a présenté un intervalle QTc >500 msec ou un allongement >60 msec par rapport à 0,2% des patients du groupe placebo. L’incidence des aberrations tachycardiques était de 0,2% dans le groupe Lexapro et le groupe placebo. L’incidence des valeurs aberrantes bradycardiques était de 0,5 % dans le groupe Lexapro et de 0,2 % dans le groupe placebo.

L’intervalle QTcF a été évalué dans le cadre d’une étude randomisée, contrôlée par placebo et active (moxifloxacine 400 mg), en cross-over, à doses multiples croissantes, chez 113 sujets sains. La différence maximale moyenne (limite supérieure de confiance à 95 %) par rapport au bras placebo était de 4,5 (6,4) et de 10,7 (12,7) msec pour 10 mg et 30 mg d’escitalopram administrés une fois par jour, respectivement. Sur la base de la relation exposition-réponse établie, la variation prévue de l’intervalle QTcF par rapport au groupe placebo (intervalle de confiance à 95 %) sous la Cmax pour la dose de 20 mg est de 6,6 (7,9) msec. L’escitalopram 30 mg administré une fois par jour a entraîné une Cmax moyenne 1,7 fois plus élevée que la Cmax moyenne pour la dose thérapeutique maximale recommandée à l’état d’équilibre (20 mg). L’exposition sous une dose suprathérapeutique de 30 mg est similaire aux concentrations à l’état d’équilibre attendues chez les métaboliseurs pauvres du CYP2C19 après une dose thérapeutique de 20 mg.

Autres réactions observées au cours de l’évaluation de Lexapro avant sa mise sur le marché

Voici une liste des effets indésirables apparus au cours du traitement, tels que définis dans l’introduction de la section EFFETS INDÉSIRABLES, rapportés par les 1428 patients traités par Lexapro pendant des périodes allant jusqu’à un an dans des essais cliniques en double aveugle ou en ouvert au cours de son évaluation avant sa mise sur le marché.La liste n’inclut pas les événements déjà répertoriés dans les tableaux 2 & 3,les événements pour lesquels une cause médicamenteuse était éloignée et à un taux inférieur à 1 % ou inférieur à celui du placebo, les événements qui étaient si généraux qu’ils n’étaient pas informatifs, et les événements rapportés une seule fois qui n’avaient pas une probabilité substantielle de mettre la vie en danger de façon aiguë. Les événements sont classés par système corporel.Les événements d’importance clinique majeure sont décrits dans la section Mises en garde et précautions d’emploi (5).

Cardiovasculaire – hypertension, palpitation.

Troubles du système nerveux central et périphérique – sensation de tête légère, migraine.

Troubles gastro-intestinaux – crampes abdominales, brûlures d’estomac, gastro-entérite.

Généraux – allergie, douleur thoracique, fièvre, bouffées de chaleur, douleur dans un membre.

Troubles métaboliques et nutritionnels – augmentation du poids.

Troubles du système musculo-squelettique – arthralgie, myalgie, raideur de la mâchoire.

Troubles psychiatriques – augmentation de l’appétit, troubles de la concentration, irritabilité.

Troubles de la reproduction/Femme – crampes menstruelles, troubles menstruels.

Troubles de l’appareil respiratoire – bronchite, toux, congestion nasale, congestion des sinus, céphalées sinusales.

Troubles de la peau et des annexes – éruption cutanée.

Sens particuliers – vision trouble, acouphènes.

Troubles de l’appareil urinaire – fréquence urinaire, infection urinaire.

Expérience post-commercialisation

Effets indésirables rapportés après la commercialisation de l’escitalopram

Les effets indésirables supplémentaires suivants ont été identifiés à partir des notifications spontanées d’escitalopram reçues dans le monde. Ces effets indésirables ont été choisis pour être inclus en raison d’une combinaison de gravité, de fréquence de déclaration ou de lien de causalité potentiel avec l’escitalopram et n’ont pas été mentionnés ailleurs dans l’étiquetage. Cependant, comme ces effets indésirables ont été signalés volontairement par une population de taille incertaine, il n’est pas toujours possible d’estimer de façon fiable leur fréquence ou d’établir un lien de causalité avec l’exposition au médicament. Ces événements incluent :

Troubles du système sanguin et lymphatique : anémie,agranulocyte, anémie aplasique, anémie hémolytique, purpura thrombocytopénique idiopathique, leucopénie, thrombocytopénie.

Troubles cardiaques : fibrillation auriculaire,bradycardie, insuffisance cardiaque, infarctus du myocarde, tachycardie, torsade dépointes, arythmie ventriculaire, tachycardie ventriculaire.

Troubles de l’oreille et du labyrinthe : vertiges

Troubles endocriniens : diabète sucré,hyperprolactinémie, SIADH.

Troubles oculaires : glaucome à angle fermé, diplopie,mydriase, troubles visuels.

Troubles gastro-intestinaux : dysphagie,hémorragie gastro-intestinale, reflux gastro-œsophagien, pancréatite, hémorragie rectale.

Troubles généraux et anomalies au site d’administration :démarche anormale, asthénie, œdème, chute, sensation anormale, malaise.

Troubles hépatobiliaires : hépatite fulminante,insuffisance hépatique, nécrose hépatique, hépatite.

Troubles du système immunitaire : réaction allergique, anaphylaxie.

Investissements : bilirubine augmentée, diminution du poids, allongement de l’intervalle QT à l’électrocardiogramme, enzymes hépatiques augmentées, hypercholestérolémie,INR augmenté, prothrombine diminuée.

Troubles du métabolisme et de la nutrition : hyperglycémie,hypoglycémie, hypokaliémie, hyponatrémie.

Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif : crampe musculaire, raideur musculaire, faiblesse musculaire, rhabdomyolyse.

Troubles du système nerveux : akathisie, amnésie,ataxie, choréoathétose, accident vasculaire cérébral, dysarthrie, dyskinésie, dystonie,troubles extrapyramidaux, crises de grand mal (ou convulsions), hypoesthésie,myoclonie, nystagmus, parkinsonisme, jambes agitées, convulsions, syncope, dyskinésie tardive, tremblement.

Grossesse, puerpéralité et affections périnatales :avortement spontané.

Troubles psychiatriques : psychose aiguë,agression, agitation, colère, anxiété, apathie, suicide accompli, confusion, dépersonnalisation,dépression aggravée, délire, illusion, désorientation, sensation d’irréalité,hallucinations (visuelles et auditives), sautes d’humeur, nervosité, cauchemar,réaction de panique, paranoïa, agitation, automutilation ou pensées d’automutilation,tentative de suicide, idées suicidaires, tendance suicidaire.

Troubles rénaux et urinaires : insuffisance rénale aiguë,dysurie, rétention urinaire.

Troubles de l’appareil reproducteur et du sein :ménorragie, priapisme.

Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux :dyspnée, épistaxis, embolie pulmonaire, hypertension pulmonaire du nouveau-né.

Troubles de la peau et du tissu sous-cutané : alopécie,angioedème, dermatite, ecchymose, érythème polymorphe, réaction de photosensibilité, syndrome de Stevens Johnson, nécrolyse épidermique toxique, urticaire.

Désordres vasculaires : thrombose veineuse profonde,bouffées vasomotrices, crise hypertensive, hypotension, hypotension orthostatique, phlébite, thrombose.

Il s’agit d’un médicament à usage unique.

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